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Les lois camerounaises sur l’avortement sont restrictives, n’autorisant la procédure que lorsque la vie de la femme est en danger, pour protéger sa santé physique ou mentale, ou en cas de viol ou d’inceste. En raison de ces restrictions, les avortements pratiqués dans des conditions dangereuses sont très répandus et contribuent de manière significative aux décès maternels évitables. En fait, les avortements non-sécurisés représentent 25 % des décès maternels au Cameroun.
Mais ces 25 % ne sont pas qu’une simple statistique : ils représentent beaucoup d’histoires de personnes réelles, chacune avec ses propres perspectives et complexités.
Cette série de vidéos comprend six histoires, racontées du point de vue d’une survivante d’un avortement non-sécurisé, d’un parent, d’une sage femme , d’une jeune influenceuse, d’un décideur et d’un journaliste.
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